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dc.contributor.authorButterworth, John
dc.contributor.authorde la Harpe, Jean
dc.date.accessioned2018-01-04T08:17:44Z
dc.date.available2018-01-04T08:17:44Z
dc.date.issued2011-04-15
dc.identifieroai:www.cmi.no:3986
dc.identifier.citationBergen: Chr. Michelsen Institute (U4 Brief 2011:3) 6 p.
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/11250/2474791
dc.description.abstractLe « commerce » de l’eau réunit un grand nombre de consommateurs, qui utilisent cette denrée à différentes fins, notamment domestiques, industrielles et agricoles. La gestion de l’eau à l’échelle des usagers, et la collecte des charges ou redevances s’y afférent, est un terreau favorable à la corruption. Cette Note U4 porte notamment sur les risques liés à l’interface prestataire-consommateur, qui comptabilise de petites, et cependant nombreuses, transactions et sur les moyens permettant aux donateurs de contribuer à enrayer la prétendue « petite » corruption. Cette dernière entraîne des pertes de revenus et sape la confiance des consommateurs. Elle pèse ainsi lourdement sur la rentabilité et la viabilité des prestataires de services.
dc.language.isofra
dc.publisherChr. Michelsen Institute
dc.relationU4 Brief
dc.relation2011:3
dc.relation.ispartofU4 Brief
dc.relation.ispartofseriesU4 Brief 2011:3
dc.relation.urihttps://www.cmi.no/publications/3986-petite-mais-nefaste
dc.subjectNatural Resource Management
dc.titlePetite mais néfaste : La corruption dans le financement et les droits d'exploitation des systèmes d'approvisionnement en eau
dc.typeReport


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